En chantier
LIVRAISON DE LOGEMENTS À SAINT-FONS
Nous livrons cette fin d'année les 22 logements locatifs sociaux pour GRAND LYON HABITAT, construits sur une parcelle étroite à Saint-Fons (69), dans une agglomération lyonnaise. Projet sur lequel nous avons collaboré avec Guillaume Suply architecte.
Le programme impose une forte densité sur cette parcelle de géométrie complexe et relativement enclavée. C’est donc un parti pris ‘d’hypercontextualisme’ que nous avons adopté, façonnant simultanément nos masses bâties, les espaces de respiration et de distribution non bâtis, et l’environnement des avoisinants. Un parti pris qui nous a amené naturellement à une urbanité d’esprit ‘de faubourg’, faite traditionnellement d’une succession d’interventions qui se superposent en densifiant sans composition préétablie les cœurs d’îlots. L’aménagement est alors un aménagement de politesse et d’usage : on respecte la vue, le soleil, l’accès de l’autre pour qu’il nous accepte comme voisin. Notre implantation se fait donc avec une forme de délicatesse dans le site, limitant les mitoyennetés, préservant les vues et offrant de larges espaces de plantations
Sur rue, nous proposons à l’ouest un système de terrasses qui permettent d’offrir une véritable façade en lieu et place du pignon attendu. En mitoyenneté est, nous créons une faille qui s’ouvre sur un cœur d’îlot, cour végétale à laquelle on accède en poussant une grille, et qui distribue les maisons bois du cœur d’îlot, le hall et les locaux communs. Confronté au profil très hétérogène des constructions sur la rue, nous avons construit notre façade à partir d’un socle homogène en pierre, qui traite la déclivité, l’accès aux parkings et la protection des deux logements en rez-de-chaussée surélevé (vitrage protégeant les balcons filants, formant des serres froides). Sur ce socle, le projet se fragmente via l’expression des terrasses et des jardins d’hiver : en fonction de leur niveau, les logements s’ouvrent différemment sur les 3 orientations. Ce jeu de masses permet d’offrir à la rue un bâtiment intermédiaire entre les immeubles collectifs et les maisons de ville. Les façades intérieures sont traitées avec plus de sobriété, tout en reprenant les mêmes matériaux.
Les logements sont distribués autour d’un espace libre et lumineux et végétalisé (5 logements par niveau). Cet espace apporte parallèlement une ventilation naturelle les espaces communs, et potentiellement les logements.
Les 3 T5 installés sur cour sont traités comme 3 petites maisons de ville distribuées directement depuis la cour végétale : elles seront construites en bois (structure et façade, hors plancher) et profitent d’un puit de lumière intérieur au droit de l’escalier qui permet une ventilation naturelle en cheminée.
Le programme impose une forte densité sur cette parcelle de géométrie complexe et relativement enclavée. C’est donc un parti pris ‘d’hypercontextualisme’ que nous avons adopté, façonnant simultanément nos masses bâties, les espaces de respiration et de distribution non bâtis, et l’environnement des avoisinants. Un parti pris qui nous a amené naturellement à une urbanité d’esprit ‘de faubourg’, faite traditionnellement d’une succession d’interventions qui se superposent en densifiant sans composition préétablie les cœurs d’îlots. L’aménagement est alors un aménagement de politesse et d’usage : on respecte la vue, le soleil, l’accès de l’autre pour qu’il nous accepte comme voisin. Notre implantation se fait donc avec une forme de délicatesse dans le site, limitant les mitoyennetés, préservant les vues et offrant de larges espaces de plantations
Sur rue, nous proposons à l’ouest un système de terrasses qui permettent d’offrir une véritable façade en lieu et place du pignon attendu. En mitoyenneté est, nous créons une faille qui s’ouvre sur un cœur d’îlot, cour végétale à laquelle on accède en poussant une grille, et qui distribue les maisons bois du cœur d’îlot, le hall et les locaux communs. Confronté au profil très hétérogène des constructions sur la rue, nous avons construit notre façade à partir d’un socle homogène en pierre, qui traite la déclivité, l’accès aux parkings et la protection des deux logements en rez-de-chaussée surélevé (vitrage protégeant les balcons filants, formant des serres froides). Sur ce socle, le projet se fragmente via l’expression des terrasses et des jardins d’hiver : en fonction de leur niveau, les logements s’ouvrent différemment sur les 3 orientations. Ce jeu de masses permet d’offrir à la rue un bâtiment intermédiaire entre les immeubles collectifs et les maisons de ville. Les façades intérieures sont traitées avec plus de sobriété, tout en reprenant les mêmes matériaux.
Les logements sont distribués autour d’un espace libre et lumineux et végétalisé (5 logements par niveau). Cet espace apporte parallèlement une ventilation naturelle les espaces communs, et potentiellement les logements.
Les 3 T5 installés sur cour sont traités comme 3 petites maisons de ville distribuées directement depuis la cour végétale : elles seront construites en bois (structure et façade, hors plancher) et profitent d’un puit de lumière intérieur au droit de l’escalier qui permet une ventilation naturelle en cheminée.
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